"J'avais 61 ans lorsque j'ai acheté ma Surface 604 - je n'aurais jamais pensé que je ferais à nouveau du vélo. Je suis allé faire un tour de seize milles l'autre jour, cela me garde positif et cela m'aide à ne pas aller à l'hôpital.

— Dwight W., Massachusetts, États-Unis

Nous n'avons pas conçu notre gamme de vélos électriques en pensant à la « liberté », la liberté était davantage une conséquence de notre conception : de gros pneus qui vous emmènent partout sur n'importe quel terrain ; assistance électrique qui élimine des choses comme la transpiration et les remplissages ; des porte-bagages et une capacité de remorquage qui vous permettent de transporter tout ce dont vous avez besoin. En fait, nous découvrons encore toutes les « libertés » que nos vélos offrent. Cette histoire de Dwight W. dans le Massachusetts porte la liberté à un tout autre niveau : la liberté de rester en dehors de l'hôpital.

J'ai rencontré Dwight pour la première fois par e-mail - il conduit un Element, notre premier modèle de production, et cherchait des améliorations pour son vélo comme une fourche à suspension ou une tige de selle à suspension. Nous avons discuté un peu des options, et dans l'un de ces échanges, Dwight a partagé une histoire incroyable avec moi, une histoire qui, je pense, résonnera avec tous ceux qui font du vélo.

Il s'avère que lorsque Dwight était jeune, il faisait le tour de la ville sur une moto Triumph Daytona 500 de 1972. Il chevauchait parce qu'il aimait sentir le vent sur son visage et sentir l'air frais. Semble familier? Dwight est maintenant dans la soixantaine et a été contraint de lutter contre de graves problèmes de santé : il a survécu à un cancer du rein (deux fois !) et a également survécu à une crise cardiaque.

Dwight m'a dit que la semaine avant le début de notre correspondance, il avait fait une balade à vélo de seize milles, une balade qu'il pensait ne plus jamais refaire. Il a expliqué que le vélo le maintenait en forme mentalement et physiquement et que son médecin, surpris que Dwight soit capable de faire autant d'activité compte tenu de ses antécédents médicaux, voulait connaître le nom du vélo. Peut-être envisagera-t-il de prescrire du "Surface 604" à ses patients en plus du "Rivaroxaban".

Merci Dwight d'avoir partagé votre histoire. Cela a permis à toute l'équipe de Surface 604 de savoir que nos vélos peuvent rendre la vie plus saine et plus heureuse. Restez à l'écoute pour plus d'histoires inspirantes de la Surface 604.

Vous avez une belle histoire de vélo à partager? Envoyez-le - nous serions ravis de le lire.

Écrit par
DAVID HEIGWAY